Nous avions évoqué dans notre article « Comment va se porter le marché de l’immobilier en 2018 ? » que les taux d’intérêts étaient susceptibles d’augmenter, que le prix de l’immobilier pouvait être moins élevé. Alors, qu’en est-il vraiment ? Les capacités d’achat des français ont-elles diminué en 2018 ?

Nous allons dresser un bref bilan sur l’année qui vient de s’achever.

Constat pour l’année 2018

Le constat pour l’année 2018 est mitigé mais elle reste constante par rapport à l’année 2017. Nous ressentons tout de même un affaiblissement de la demande, probablement dû aux prix du logement qui augmentent, l’arrêt des subventions à la propriété et la détérioration de la confiance des ménages.

Ces derniers, en 2018, sont préoccupés. Leur pouvoir d’achat n’augmente pas et en parallèle les conditions de crédit se sont améliorées avec des taux toujours très bas (entre 1.40 et 1.70% en fonction de la durée), cela a permis de ne pas voir les demandes de crédit chuter.

Le marché de l’ancien florissant

En revanche, le marché de l’ancien reste très florissant et cela malgré l’augmentation des prix. Les biens dans l’ancien qui subissent ces augmentations sont principalement concentrés dans des secteurs comme l’Île-de-France, Lyon, Marseille et Grenoble.

Ce secteur a été alimenté par les faibles taux d’intérêt mais surtout pour l’intérêt croissant des jeunes acheteurs (moins de 40 ans).

Conclusion

Lorsque que la rareté des logements se fait ressentir, et notamment dans les grandes agglomérations, les prix augmentent si la demande est au rendez-vous.

C’est la loi de l’offre et la demande

L’année 2018 a été particulièrement prospère pour le secteur de l’immobilier ancien.

Le constat pour l’année 2018 est mitigé mais elle reste constante par rapport à l’année 2017. Nous ressentons tout de même un affaiblissement de la demande, probablement dû aux prix du logement qui augmentent, l’arrêt des subventions à la propriété et la détérioration de la confiance des ménages.

Ces derniers, en 2018, sont préoccupés. Leur pouvoir d’achat n’augmente pas et en parallèle les conditions de crédit se sont améliorées avec des taux toujours très bas (entre 1.40 et 1.70% en fonction de la durée), cela a permis de ne pas voir les demandes de crédit chuter.

Le marché de l’ancien florissant

En revanche, le marché de l’ancien reste très florissant et cela malgré l’augmentation des prix. Les biens dans l’ancien qui subissent ces augmentations sont principalement concentrés dans des secteurs comme l’Île-de-France, Lyon, Marseille et Grenoble.

Ce secteur a été alimenté par les faibles taux d’intérêt mais surtout pour l’intérêt croissant des jeunes acheteurs (moins de 40 ans).

Conclusion

Lorsque que la rareté des logements se fait ressentir, et notamment dans les grandes agglomérations, les prix augmentent si la demande est au rendez-vous.

C’est la loi de l’offre et la demande

L’année 2018 a été particulièrement prospère pour le secteur de l’immobilier ancien.